OpenAI a récemment dévoilé une technologie révolutionnaire appelée « Voice Engine » capable de cloner n’importe quelle voix à partir d’un échantillon audio de seulement 15 secondes. Bien que prometteuse pour de nombreuses applications bénéfiques, cette avancée soulève d’importantes questions éthiques que l’entreprise prend très au sérieux.

Une puissance déconcertante

Avec Voice Engine, recréer une voix naturelle et convaincante devient un jeu d’enfant. Cette efficacité déconcertante ouvre un vaste champ d’applications positives, mais aussi un potentiel de dérive inquiétant.

Applications prometteuses

De l’assistance à la lecture aux services de traduction vocale en passant par les aides thérapeutiques, Voice Engine promet de révolutionner de nombreux domaines. Cependant, le risque d’usurpation d’identités vocales et de désinformation n’est pas à négliger.

Une approche prudente mais nécessaire

Face à ces défis éthiques, OpenAI fait le choix d’une sortie très encadrée de sa technologie, privilégiant la sécurité. Un pari risqué qui pourrait ralentir l’innovation, mais ô combien nécessaire pour prévenir les dérives.

Un débat de société inévitable

Au-delà des précautions d’OpenAI, Voice Engine relance les questionnements sur l’encadrement juridique et sociétal du développement de l’IA. Un large débat public semble indispensable pour définir une voie éthique durable.

En attendant vous avez à votre disposition d’autres outils qui vous permettent déjà de cloner votre voix.